Wong Phui Nam, né en 1935 à Kuala Lumpur, est un poète malaisien d’origine chinoise. D’expression anglaise, il a activement participé à The New Cauldron (1949-1960), le premier magazine littéraire créé par les étudiants de l’Université de Malaya, à Singapour. Régulièrement publié au cours des années 1960, puis discret au cours des deux décennies suivantes, il a ensuite publié plusieurs recueils, dont Ways of Exile, ainsi qu’une pièce de théâtre : Anike, une version malaisienne d’Antigone. Un de ses poèmes – « Mots pour une épiphanie » – a été traduit et publié dans le numéro 2 de la revue littéraire Jentayu.
Quelques-uns de ses ouvrages :
- How the hills are distant (Tenggara, Kuala Lumpur, 1968)
- Remembering Grandma and Other Poems (1989)
- Ways of exile (Skoob, Londres, 1993)
- Against the Wilderness (2000)
- An Acre of Day’s Glass (2006)
- The Hidden Papyrus of Hen-taui (Ethos Books, Singapour, 2012).
Traduit en français :
- « Mots pour une épiphanie », extrait de How the hills are distant (Jentayu, 2015, traduit de l’anglais par Jérôme Bouchaud).
Lire l’article « La carte d’un millier de vies » sur Lettres de Malaisie.